Témoignages
Pour toutes les victimes de spoliations orchestrées par les auxiliaires de justices :
administrateurs, avocats, juges, huissiers, commissaires priseurs, corruptions de citoyens...
Après vingt ans et une centaine de procédures Chantal Cottet n'obtient pas réparation
La Justice française ne manque pas de moyens
Elle manque seulement de moralité et de légitimité
La honte de la France, c’est son pouvoir judiciaire négationniste !
Du collaborationnisme des années 40-44 au négationnisme il n’y a qu’un pas
que les juges français ont sérieusement franchi avec l’affaire Cottet.
En 1991, alors que l’activité artistique de Chantal Cottet était en pleine expansion et reconnaissance internationale, la SNCF a oublié, lors de la construction de l’interconnexion TGV nord-sud, la présence dûment signalée des installations pyrotechniques de cette artiste pyroplasticienne.
Pour pallier à cet oubli, le directeur de la SNCF Marcel Journet a fait signer aux propriétaires des lieux, à l’insu de l’occupante, une promesse de vente précisant que les lieux étaient « libres de toute occupation ».
Il s'en est suivi la destruction totale des oeuvres de l’artiste et le vol de son matériel et de ses biens personnels par la SNCF et les propriétaires des lieux, pour lui imposer de force l’arrêt de son activité ; le but étant de rendre sans fondement toute procédure contre la SNCF au cours de laquelle cette promesse de vente, et la malhonnêteté des propriétaires et de la SNCF, auraient été inévitablement mises au jour.
Vingt et une années et plus d’une centaine de procédures juridiques n'ont pas permis à Chantal Cottet d'obtenir réparation, car le pouvoir judiciaire français n’a eu de cesse de conforter et protéger la SNCF et les propriétaires coupables de ces multiples forfaits, dont l’acte le plus condamnable est le négationnisme associé au vol et à la destruction des documents et souvenirs du calvaire de son père déporté en camp de concentration nazi.
C’est donc avec la complicité de la SNCF, entreprise d’Etat, et avec la bénédiction des juges du TGI de Melun, de la Cour d’Appel de Paris et de la Cour de Cassation, représentant le pouvoir judiciaire français que cet acte négationnisme a été commis.
Et aujourd’hui, c’est avec la complicité de l’ensemble de la classe politique française que cet acte négationniste se perpétue.
En effet, l’affaire dite d’Outreau a dévoilé aux citoyens français que les parlementaires avaient une obligation de contrôle de toutes les institutions de la République, y compris celle de la Justice !
De fait, il est du devoir de l’ensemble de la classe politique de créer une commission d’enquête parlementaire afin de:
- rechercher les causes de ces graves infractions au droit communautaire européen, ainsi que les responsabilités des uns et des autres dans cette affaire,
- définir les solutions à apporter s’agissant des graves atteintes aux droits et libertés fondamentales de l’artiste Chantal Cottet et de l’indemnisation des préjudices consécutifs,
- proposer les réformes profondes qu’exigent les dérives négationnistes et fascisantes de l’actuel pouvoir judiciaire détenu à vie par une caste qui n’a aucune légitimité démocratique, en vue d’aboutir à l’instauration d’un pouvoir judiciaire digne d’une démocratie, constitué de magistrats tirés au sort parmi les professions juridiques, pour une période de 5 ans non renouvelable, et formés lors d’un stage rémunéré d’un an à l’Ecole de la magistrature.
Abus tutélaire
Je suis déléguée de l’association ANVEDJ (association nationale des erreurs et dysfonctionnements judiciaires) à Paris. Adhérente à droits et libertés, Institut pour la justice, France justice, ligue des droits de l’homme, même justice pour tous..
Je me débats depuis 2003 pour faire reconnaître mes droits bafoués sur l’héritage de mon époux.
Jean-Pierre BEAUCOURT, est décédé il y a 9 ans des suites de mauvais traitements dans la clinique de convalescence REPOTEL à Fontenay aux Roses (92) gérée par Monsieur Philippe PONS à l’époque des faits. Ce dernier de concert avec le Médecin Urgentiste Reza SHARGHI-YASDI retenait contre son gré mon compagnon dans le but de s’approprier ses biens.
Résultat le Tribunal de Creil avait nommé d’office le 26 juin 2003 Serge LAURENSON situé dans l’Oise alors que nous habitions à Paris pour gérer les biens de mon compagnon à la suite du signalement mensonger du Docteur Reza SHARGHI-YASDI au Procureur de la République de Nanterre.
Cette association de tutelle fabrique de toutes pièces des scénaris et un rapport négatif destiné aux tribunaux nous sans nous connaître.
Monsieur Serge LAURENSON Président de l’association détourne immédiatement notre courrier à notre insu. Ce dernier découvre que Jean-Pierre BEAUCOURT mon compagnon possède des assurances vie pour un montant de 514.512 19 €.
Monsieur Serge LAURENSON perd son mandat en raison du décès de mon époux. Ce dernier n’a pas eu le temps matériel de s’approprier le capital malgré ses requêtes auprès de la compagnie d’assurance ZURICH.
Mais sur ses interventions personnelles les sommes sont séquestrées depuis le 21 janvier 2004 sur le compte des avocats qui n’est pas une caisse de dépôts et consignations. Les frais de séquestre sont prélevés sur le capital séquestré.
Monsieur Serge LAURENSON qui depuis a fusionné avec l’UDAF situé à COMPIEGNE dans l’Oise, utilise le nom d’une famille inconnue ressurgie du néant pour pouvoir continuer à détourner l’héritage. Il obtient des attestations de clients de mon mari pour engager des procédures judiciaires.
Pierre SEGUIN avocat nommé d’office par Madame Cécile BROUZES juge à la 4ème chambre civile Tribunal de Paris ose s’activer pour le compte de ses « prétendus clients les Consorts FREDAIGUE » pour faire annuler mon mariage légal le 4 août 2003, alors que ces derniers ne sont pas héritiers. Pas d’intérêt pas d’action en droit français.
Maître Pierre SEGUIN et Béatrice DUNOGUE GAFFIE ont tout fait pour détourner mon héritage en utilisant la crédulité d’une famille inconnue en carence intellectuelle.
Le 24 mai dernier en présence de quelques de ses confrères et divers témoins, Pierre SEGUIN en audience publique présidé par le Juge Patrice KURZ a déclaré que ses clients étaient des victimes consentants ». Madame Béatrice DUNOGUE GAFFIE sans droit, le concours de son avocat Philippe Thomas COURCEL et Guillaume CADIX se sont imposés d’office pour me faire expulser illégalement de l’appartement dont je suis l’héritière universelle avec le concours de l‘huissière Nathalie BERAT de SENLIS.
Certains avocats notamment la SCP Cédric FISCHER, Nathalie SCHMELK, Pierre Olivier SUR, Guillaume CADIX,…les Avoués SCP BERNABE CHEVILLARD, SCP, Pierre MIRA BETTAN engagent ou s’imposent d’office dans les procès alors qu’ils ne connaissaient pas leurs clients au mépris de toute déontologie. Des stratégies sont mises en place pour ma baillonner m’endetter et me persécuter régulièrement.
Madame Béatrice DUNOGUE GAFFIE a vendu d’office le portefeuille d’actions de mon mari de 42 000 €, pour engager des DES PROCES contre mes intérêts, se payer des honoraires, ceux de ses mandataires, des violations de domicile, des diffamations, des menaces réitérées et finalement me faire expulser par la force publique sans droit ni titre.
Cette dernière loue mon appartement avec la complicité du conseil syndical et du concours du Syndic situé 49, rue Henri Pauquet à CREIL 60120 à Messieurs TESSON Grégory et Jennifer MOREL sans mon autorisation.
Se défendre seule devant les tribunaux est quasiment impossible encore moins en appel ou en cassation ou la représentation d’avocats est obligatoire. Comment se défendre lorsque la machine de guerre de la justice est enclenché contre soi ?
Les victimes sont dans l’impossibilité de se défendre face à la malhonnêteté d’un certain nombre d’auxiliaires de justice. Comment prouver son innocence alors que tout est enclenché et part en chute libre. Nombreux se retrouvent à la rue, en psychiatrie, se suicide, ou condamnés à tord à des pénalités arbitraires. Notamment à reverser des honoraires aux auxiliaires de justice, aux Huissiers, aux commissaires Priseurs...
Certains avocats s’arrangent entre eux pour masquer la vérité et museler le justiciable lors des audiences. Les Avocats Sylvie PAPASIAN, Edouard POINSON on fait blocs pour procéder au classement d’une de mes plaintes qui leur faisait de l’ombre.
Les Avocats Samia SHERFAOUI, Ludivine LUBAKY, Anne FITOUSSI ont tout fait pour empêcher cette plainte de prospérer.
Je réclamai notamment l’audition des consorts FREDAIGUE pour faire constater les manipulations.
A l’instar de millions de justiciables, je sollicite que les Magistrats soient attentifs envers les citoyens au lieu de les écarter des débats. De sanctionner les avocats qui les instrumentalisent et non pas les justiciables.
Les dérives se généralisent du fait des agissements peu scrupuleux d’auxiliaires et d’intervenants de leur déontologie.
Ces derniers n’hésitent pas à incérer des faux en écritures et témoignages fallacieux pour tromper les Magistrats afin d‘obtenir des condamnations notamment l‘article 700 du NCP, des dépends.
Certains conseillent avec force à la cliente de ne pas se présenter aux audiences.
Ainsi ils bâillonnent la défense par tous les moyens.
Vous qui m’entendez, aidez ceux qui sont les victimes du système judiciaire qui s’est constitué contre les citoyens.
Cela peut être vous demain.
Rejoignez mon combat qui est celui de tous.
Adhérez à l’association ANVEDJ qui entame une grève de la faim depuis le 12 juin pour dénoncer la corruption du système judiciaire et obtenir une justice enfin équitable.
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